Vos 100 premiers jours en tant qu’Expat : démarrez sur les chapeaux de roue

Vos 100 premiers jours en tant qu’Expat : démarrez sur les chapeaux de roue

Votre vol est réservé, les valises sont bouclées et votre avenir à l’étranger vous sourit. Mais l’euphorie initiale doit souvent faire face à la réalité. Les 100 premiers jours suivant votre déménagement provoquent une avalanche de sentiments divers, de besoins d’organisation et d’émotions. Votre principal défi ? Trouver vos marques dans un nouvel environnement, sans vous y perdre.

Voici quelques récits d’expatriés qui vivent leurs premiers mois dans un nouveau pays et se livrent en toute honnêteté. Quelles sont les choses qui se sont bien passées, et celles qui se sont avérées décevantes ? Avec le recul, qu’est-ce qu’ils auraient pu faire différemment ? Au travers de ces expériences, vous trouverez des conseils pratiques et des idées, y compris un aperçu des assurances qu’il vaut mieux souscrire dès le premier jour. Parce qu’un bon départ dans votre nouvelle expérience de vie commence par une préparation soigneuse.

 

« Je pensais être prête à 100 %. Jusqu’à ce que j’arrive sur place. »

Julie (29 ans) a déménagé d’Anvers à Lisbonne l’année dernière pour son emploi dans le marketing numérique au sein d’une entreprise internationale spécialisée dans la technologie. Parlant couramment l’anglais, elle avait déjà réservé un appartement en ligne et son employeur s’était occupé de son billet d’avion. Elle pensait être fin prête à partir.

« La première semaine, j’ai été dépassée par les événements. J’ai dû m’inscrire auprès de la municipalité, ouvrir un compte bancaire, demander un numéro d’identification fiscale et, pendant ce temps, j’avais bien sûr commencé à travailler. L’appartement que j’avais loué s’est révélé bruyant et humide. De plus, je ne connaissais absolument personne. En fait, je ne m’attendais pas à ce que l’aspect pratique soit aussi pesant. »

L’histoire de Julie est celle de nombreux expatriés. Car même si tout semble bien organisé sur le papier, on se heurte à des différences culturelles, à des lourdeurs administratives et à des imprévus.

Un conseil qui vaut de l’or ? N’hésitez pas à trouver un logement temporaire pour le premier mois, cela vous permettra de chercher autre chose, qui vous conviendra vraiment, une fois sur place. Vérifiez également si votre employeur ou votre université peut vous guider dans des démarches telles que votre inscription, les impôts ou les questions bancaires. De nombreuses organisations internationales proposent un ‘package d’accueil’ pour les nouveaux arrivants.

 

Vivre, travailler et... prendre ses marques

Pieter-Jan (42 ans) et sa femme ont déménagé avec leurs deux enfants à Singapour, où il a commencé à travailler comme responsable logistique dans l’industrie portuaire. Bien que la famille soit partie en étant bien préparée, ils ont dû s’adapter.

« Leurs grands-parents manquaient à nos enfants et ils ne voyaient pas pourquoi ils ne comprenaient pas leurs camarades de classe. Ma femme s’est sentie un peu perdue pendant les premières semaines – elle avait quitté son emploi et se retrouvait soudainement dans une ville inconnue au climat tropical, sans réseau. Nous avons pensé : « on va vite s’habituer ! », mais c’était un peu trop optimiste. »

Un nouvel environnement est parfois intimidant, même si c’est vous qui l’avez choisi. C’est pourquoi il est important de prévoir des moments pour atterrir en douceur. Partez en exploration, sans vous forcer. Inventez-vous des routines locales : le marché du samedi matin, le café au coin de la rue, un parc où marcher ou faire du jogging. Et surtout, osez aller vers les gens.

« Grâce à l’école internationale, nous sommes entrés en contact avec d’autres familles d’expatriés », explique Pieter-Jan. « Mais ce sont surtout les conversations avec notre voisine – une Singapourienne à la retraite qui offrait des fleurs aux enfants tous les matins – qui ont fait la différence. Il faut s’ouvrir, même à des personnes qui sont complètement différentes de vous. »

 

Des poids invisibles : le choc culturel et le mal du pays

Thomas (34 ans) s’est installé à Tokyo en tant qu’ingénieur et pensait s’être habitué à la vie à l’étranger. Il avait déjà travaillé en Allemagne, parlait couramment l’anglais et s’était préparé pendant des mois. Pourtant, il a été surpris par le choc culturel.

« Je savais que la culture japonaise était différente, mais j’avais sous-estimé son impact sur moi. Personne ne parle anglais dans la rue, les signaux sociaux sont très subtils, et l’humour et les conversations spontanées me manquaient. Je me sentais souvent mal à l’aise, comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Heureusement, grâce à un cours de langue, j’ai aussi appris à mieux comprendre les codes et les sensibilités. J’ai réussi à m’intégrer et à me sentir chez moi relativement rapidement. »

Un choc culturel n’est pas un constat d’échec, c’est simplement un signe que vous prenez votre environnement au sérieux. Ne vous découragez pas. Apprenez quelques mots clés de la langue locale, parlez à vos collègues de leurs coutumes, posez des questions en marquant un réel intérêt. Et surtout, accordez-vous du temps.

 

Les assurances : votre filet de sécurité dès le premier jour

Annelies (38 ans) peut en témoigner. Elle travaille comme graphiste indépendante et a décidé de prendre une année sabbatique en Thaïlande. C’est là qu’elle est tombée malade au bout d’un mois, de manière tout à fait inattendue.

« Je me suis tout d’un coup retrouvée dans un hôpital de Bangkok avec une fièvre de cheval. Heureusement, j’avais souscrit une assurance médicale pour expatriés auprès d’Expat & Co. Tout a été réglé rapidement – même les médecins parlaient anglais – et je n’ai rien eu à payer à l’avance. Sans cette assurance, j’en aurais eu pour des milliers d’euros. C’était un rappel à l’ordre : l’aventure, c’est bien, mais il faut avoir toutes les cartes en main. »

En tant qu’expat, vous courez plus de risques que vous ne le pensez. Non seulement en termes de santé, mais aussi sur le plan juridique et financier. Une bonne assurance n’est pas un luxe mais une nécessité absolue.

Check-list : de quoi avez-vous besoin dès le premier jour ?

  • Assurance médicale : hospitalisation, soins ambulatoires, médicaments, etc.
  • Assurance responsabilité civile : si vous causez accidentellement des dommages à des tiers, par exemple lors d’un accident de vélo.
  • Assurance responsabilité civile des locataires et assurance contenu : pour vos propres biens ou l’appartement meublé que vous louez.
  • Assurance voyage : indispensable pour celles et ceux qui voyagent souvent à l’étranger.
  • Assurance maladie-invalidité : essentielle pour les freelancers, indépendants et consultants. Qui paiera votre salaire si vous êtes dans l’incapacité de travailler ?

 
Chez Expat & Co, vous pouvez choisir des formules adaptées à votre profil : étudiant(e), salarié(e), indépendant(e), pensionné(e) (affiliation maximale à 70 ans), famille... Vous bénéficiez d’une information transparente et d’une assistance personnalisée. Expat & Co met même à votre disposition un centre d’urgence multilingue disponible 24/7. Urgence médicale ? Décès dans le pays d’origine ? Problème avec votre logement ? Il y a toujours quelqu’un à vos côtés.

 

Se connecter à son nouvel univers

L’intégration sociale se fait rarement toute seule. Il faut souvent se remettre en question. Lien (25 ans), qui a passé une année Erasmus à Valence, s’est intégrée grâce au sport.

« J’ai rejoint un club de running local. Au début, je ne comprenais pas un mot de ce qu’ils disaient, mais après avoir couru, nous buvions parfois un verre de cava (désolé, maman 😉) dans le parc. C’est comme ça que j’ai appris à mieux connaître la ville, la langue et les gens. Aujourd’hui, j’ai des amis espagnols, mais aussi italiens, mexicains, asiatiques. C’est une expérience qui m’a marquée à jamais. »

Ce genre d’histoire démontre à quel point les 100 premiers jours ne sont peut-être pas les plus faciles, mais les plus instructifs. En choisissant activement de vous impliquer dans votre nouvel univers, vous apprenez non seulement à connaître votre nouvelle patrie, mais vous vous découvrez vous-même.

 

Conclusion : l’art d’atterrir en douceur

Déménager à l’étranger n’est pas un sprint mais un marathon. Et cela commence par un échauffement efficace. Organisez les démarches administratives, pensez à vos assurances, mettez en place un filet de sécurité sociale et soyez bienveillant(e) envers vous-même.

Ou comme le résume Koen (55 ans), directeur DRH à New York : « Vous partez avec un projet, mais vous débarquez dans une nouvelle histoire. La meilleure de votre vie ? Qui sait ? »

 

Expat & Co vous propose de rendre vos 100 premiers jours plus sereins – et tous ceux qui suivent aussi. Avec des solutions d’assurance fiables et des conseils adaptés à votre situation.
Découvrez nos assurances pour expat www.expatinsurance.eu.

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